🐐 J Ai TrouvĂ© Une Blatte Chez Moi

Pourla premiĂšre fois en quelques annĂ©es, j’ai trouvĂ© un cafe chez moi. Puis 7 ou 8 le lendemain. J’ai immĂ©diatement commande gel Goliath. Et une entreprise est passĂ©e traiter avec un fumigĂšne (3 ou 4 cafard trouves morts pas plus. J’ai ensuite posĂ© le gel un peu partout. Parfois et sans faire exprĂšs le point dĂ©passĂ© la taille Blattesj'en peux plus !!!! petitefeĂ© - 10 nov. 2011 Ă  19:33. petitefeĂ© - 10 nov. 2011 Ă  21:22. Bonjour, je suis locataire avec mon petit bout d'un appartement depuis 2 ans , et voila que Ă  prĂ©sent j'ai des blattes qui nous envahissent depuis 2 mois . j'ai pris des prĂ©caution : j'ai rangĂ© ma nourriture dans des boites hermĂ©tiques je 3La reproduction chez les blattes. Les blattes se reproduisent gĂ©nĂ©ralement dans des zones humides et chaudes. La femelle va attirer le mĂąle par la sĂ©crĂ©tion de substances odorantes. Leur reproduction est trĂšs rapide et consĂ©quente. Une femelle peut en effet mettre au monde jusqu’à 10 000 petits en une annĂ©e. Leursnids peuvent se trouver prĂšs des fours, des congĂ©lateurs, sous les appareils Ă©lectromĂ©nagers ils peuvent aussi nicher prĂšs des canalisations ou des Ă©gouts. Comment savoir si il y a des cafards ? Est-ce que les cafards montent sur les lits ? Comment trouver nid de cafard ? VidĂ©o : OĂč se cache les blattes ? Pourquoi Ai-je des blattes chez moi ? Comment tuer les habitentchez moi, que faire ? J’AI TROUVÉ UNE CHAUVE-SOURIS CHEZ MOI On ne les rencontre qu’en juin et juillet Ouvrez la fenĂȘtre, Ă©teignez la lumiĂšre et sortez de la piĂšce. Elle sortira au bout de quelques minutes. Consulter la liste ici Il remontera seul ou sa mĂšre viendra le chercher. Le museum de Bourges donne Bonjourpar ici ! J'ai une copine qui est venue chez moi il y a 10 jours et j'ai trouvĂ© ça sur la table basse : MĂ©dia de rĂ©fĂ©rence en environnement et sciences de la Terre depuis 2001. IndĂ©pendant, en accĂšs libre, soutenez-nous : membre premium , don moiaussi j’ai rĂ©cupĂ©rĂ© un frigo d’occasion et au dĂ©but tout allĂ© bien. Et puis pareil, quelques cafards sont apparus autour du frigo. J’ai cru au dĂ©but qu’elles Ă©taient de passage. Mais lĂ  c’est tous les jours, je vois de plus en plus de blattes. J’en ai mĂȘme trouvĂ© une Ă©crasĂ©e dans le joint du frigo, je suis horrifiĂ©. Jai trouvĂ© un cafard dans ma cuisine Recherche : Mot : Pseudo : Filtrer par contre, il semble que j'ai deux especes diffĂ©rentes chez moi, des tout petits (1/2cm)assez rond de corps et des longilignes qui sont parfois monstrueux (3cm max) ----- (ć±źă‚œĐ”ă‚œ)江 - Lightning strikes again! - « Les propos de Zemmour au Bataclan sont indĂ©cents, ils empĂȘchent la Lescafards sont des parasites qui peuvent causer des allergies, de l'asthme et d'autres problĂšmes de santĂ©. Les propriĂ©taires font gĂ©nĂ©ralement appel Ă  un exterminateur pour s'en dĂ©barrasser. En savoir plus sur la lutte contre les cafards et blattes dans l'Ain. Nous intervenons sur les communes de Bourg-en-Bresse - AmbĂ©rieu-en-Buguey - Chalon-sur-SaĂŽne - MĂącon - 12FifU. 0 Flares Twitter 0 Facebook 0 Pin It Share 0 0 Flares × La souris grise est aussi appelĂ©e souris commune ou souris domestique. Elle vit souvent Ă  proximitĂ© ou dans les habitations humaines, c’est un animal nocturne. La souris a des poils lisses et doux, un museau long, des oreilles larges, des petits yeux noirs, sa queue est de mĂȘme longueur que son corps. La reproduction a lieu toute l’annĂ©e, la femelle peut mettre au monde 5 Ă  15 portĂ©es par an, une portĂ©e compte 5 Ă  12 petits souriceaux. La souris commune peut vivre 2 Ă  3 ans. Comment dĂ©tecter les souris ? Le signe qui ne trompe pas est l’apparition de petites dĂ©jections noires de la taille d’un grain de riz de 0,5 Ă  1 centimĂštre de long, pointues aux deux extrĂ©mitĂ©s. Les excrĂ©ments rĂ©cents sont mous et sombres, les plus anciens deviennent durs et cassants. Ces dĂ©jections apparaissent rĂ©guliĂšrement dans les garages, dans les greniers, dans la piĂšce de la chaudiĂšre, derriĂšre les Ă©lĂ©ments de cuisine et l’électromĂ©nager
 Les souris urinent et laissent des matiĂšres fĂ©cales dans les endroits oĂč elles vont souvent. Les excrĂ©ments de rats sont plus longs et arrondis aux extrĂ©mitĂ©s. Il est possible d’entendre les souris gratter pendant la nuit. Pourquoi se dĂ©barrasser des souris dans la maison ? Les souris s’attaquent aux denrĂ©es alimentaires Elles laissent des dĂ©jections et contaminent des piĂšces par l’odeur dĂ©sagrĂ©able Elles s’attaquent et rongent les cĂąbles Ă©lectriques, les tuyaux
ce qui peut provoquer court-circuit, fuite de gaz, incendie, accident
 Elles sont porteuses de maladies Les odeurs et traces L’odeur d’urine de la souris rappelle une odeur d’ammoniaque. Plus l’infestation sera longue et plus l’odeur va ĂȘtre forte. La souris est prĂ©visible et effectue le mĂȘme parcours rĂ©guliĂšrement, tant qu’elle n’est pas dĂ©rangĂ©e. Il est possible de dĂ©tecter leur trajet grĂące Ă  du talc, de la farine ou de la poussiĂšre. On peut voir des tĂąches huileuses le long des murs, planchers, tuyaux et trous frĂ©quentĂ©s par les souris. Les dommages Les dommages liĂ©s aux infestations de souris sont consĂ©quents. Il faut rĂ©agir rapidement pour Ă©viter d’ĂȘtre colonisĂ©. Les souris et autres rongeurs laissent des excrĂ©ments et urinent sous les planchers, sous les toitures, ils rongent les cĂąbles, les structures et isolations. Ces rongements peuvent engendrĂ©s des courts-circuits ou des pannes d’appareils tels que rĂ©frigĂ©rateur, congĂ©lateur, lave-linge, sĂšche-linge, cĂąble tĂ©lĂ©phonique, cĂąble informatique
 La rĂ©paration des Ă©lĂ©ments endommagĂ©s est parfois compliquĂ©e, car il faut trouver l’endroit et l’élĂ©ment dĂ©tĂ©riorĂ©. Bloquer les galeries Pour condamner les galeries et bloquer les orifices laissĂ©s dans les murs, il est conseillĂ© de remplir de laine d’acier et de colmater. Cependant, les souris arrivent souvent Ă  contourner ces obstacles. Les souris arrivent mĂȘme Ă  dĂ©truire les mousses auto expansives. Les rongements Ces bruits incessants permettent de soupçonner la prĂ©sence de souris. Les souris doivent ronger rĂ©guliĂšrement pour entretenir leurs dents. Il faut savoir que les incisives de ces rongeurs ne cessent jamais de grandir. Les souris s’attaquent aux aliments, aux vĂȘtements, aux meubles, Ă  la literie, aux livres
qui peuvent ĂȘtre souillĂ©s par leurs excrĂ©ments et urine, ou rongĂ©s. Nids des souris A l’arrivĂ©e de l’automne, les souris cherchent un endroit chaud, un abri pour faire leur nid et une source d’alimentation. Elles fabriquent leur nid avec du papier ou des sacs plastiques dĂ©chiquetĂ©s en petits morceaux. Elles apprĂ©cient aussi les matiĂšres d’isolation. Elles fabriquent leur nid sous les planchers, dans les plafonds, dans les cavitĂ©s murales, dans les greniers
 Les souris construisent leur nid Ă  proximitĂ© d’une source de nourriture et plus particuliĂšrement la cuisine. Les souris vivent en colonie, mĂȘme si vous ne voyez qu’une seule souris, c’est elle qui va chercher de la nourriture pour sa famille. A propos des souris Les souris n’ont pas besoin de beaucoup de nourriture. Une souris commune, consomme environ 3 Ă  6 grammes d’aliments par nuit. Elles se nourrissent dans de multiples endroits, c’est pourquoi il n’est pas facile de leur couper les vivres. Les souris peuvent sauter, nager et escalader des surfaces verticales, elles sont trĂšs agiles et se faufilent partout, mĂȘme dans des trous de 1 Ă  2 centimĂštres de diamĂštre. Elles ne possĂšdent pas une trĂšs bonne vision, elles se repĂšrent grĂące Ă  leur odorat et aux odeurs laissĂ©es par d’autres souris odeurs d’urine. Les souris transmettent des maladies, elles contaminent les aliments, les lieux par contact ou par les matiĂšres fĂ©cales et urines qu’elles laissent sur leur passage. De plus, les souris sont porteuses de puces qu’elles transmettent aux animaux domestiques chiens et chats qui contaminent alors la maison. Comment se dĂ©barrasser des souris ? Il est conseiller de traiter le problĂšme rapidement, car les souris se reproduisent trĂšs vite. Evitez d’attirer les souris Ne pas laisser de dĂ©tritus dans son garage Bien fermer ses poubelles Ranger les aliments dans un lieu sĂ»r Reboucher tous les trous ou fissures dans les murs et mettre des grilles Ă  mailles trĂšs fines devant les ouvertures de ventilation Astuces pour s’en dĂ©barrasser rapidement Utiliser un rĂ©pulsif souris, de prĂ©fĂ©rence d’origine vĂ©gĂ©tale Utiliser des piĂšges Ă  souris 0 Flares Twitter 0 Facebook 0 Pin It Share 0 0 Flares × Noir, brun, marron, voire jaune, quelle que soit sa couleur, cet invertĂ©brĂ© est loin d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ© Ă  la maison ! Malheureusement, celui-ci parvient quand mĂȘme Ă  pĂ©nĂ©trer au sein de nos foyers. Et si vous vous demandez comment se dĂ©barrasser des blattes, faisons donc le point sur ces insectes, qui ont su gagner la phobie de nombreuses personnes
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Quelles sont les causes de leur irruption ?Les principales causes qui interpellent ces animaux sont les ordures et le manque d’hygiĂšne dans les habitations. Nous savons tous qu’ils sont omnivores et donc se nourrissent de tout ! Comme par exemple de matiĂšres premiĂšres, de cartons, de papiers et de dĂ©chets. Et si ces bĂȘtes prennent plaisir Ă  se rĂ©fugier chez vous, c’est tout simplement qu’elles ont trouvĂ© leur bonheur
 Soyez donc vigilants et prenez vos prĂ©cautions en adoptant les bons gestes d’une bonne hygiĂšne de vie. Voici quelques conseils pour Ă©viter d’ĂȘtre infestĂ©s rangez soigneusement votre nourriture dans des boites hermĂ©tiques ;passez le balai ou l’aspirateur aprĂšs chaque repas, afin de ne laisser aucunes miettes au sol ;bouchez les trous d’évacuation que l’on retrouve principalement dans la cuisine et la salle de bain Ă  l’aide de ruban adhĂ©sif ;sortez votre poubelle quotidiennement ;vaporisez une Ă  deux fois par semaine de l’insecticide dans les issues en contact avec l’extĂ©rieur et/ou les Ă©gouts, mais aussi, que sur la bordure des fenĂȘtres c’est gĂ©nĂ©ralement Ă  ces endroits que ces bestioles surgissent. Paris Match, semaine du 24 mars – 15 octobre 2004, la veille du dĂ©but du ramadan, priĂšre du vendredi pour les femmes, Ă  la mosquĂ©e de Machhad, dans le nord-est du pays. La ville est un des deux lieux saints d’Iran, car elle abrite le tombeau de l’imam Reza, 8Ăš imam de l’islam. Alors que le pays, soupçonnĂ© de dĂ©velopper l’arme nuclĂ©aire, semble la prochaine cible de George Bush, nos reporters ont enquĂȘtĂ© sur celles qui subissent le plus durement l’oppression du rĂ©gime. Leur seul droit absolu est celui de prier. Les Iraniennes avaient vu une porte s’entrouvrir aprĂšs lÂ’Ă©lection du rĂ©formiste Khatami Ă  la prĂ©sidence, en 1997. Aujourd’hui, les espoirs de libĂ©ralisation sont pourtant bien minces les conservateurs, qui contrĂŽlent dĂ©jĂ  le Parlement, sont donnĂ©s favoris Ă  lÂ’Ă©lection prĂ©sidentielle du 17 juin. Face aux menaces des Etats-Unis, qui demandent l’arrĂȘt du programme nuclĂ©aire, les Iraniens pourraient se radicaliser et voter pour l’ancien prĂ©sident Rafsandjani. Depuis son dĂ©part, la situation des femmes sÂ’Ă©tait amĂ©liorĂ©e – au moins sur le papier les universitĂ©s accueillent 60 % dÂ’Ă©tudiantes, l’administration est Ă  38% fĂ©minine. Mais les limites sont nombreuses voile obligatoire, interdiction de travailler sans la permission du mari, divorce presque impossible. Vingt-quatre ans aprĂšs la rĂ©volution islamique, Ă  laquelle beaucoup d’entre elles avaient participĂ©, les femmes sont toujours des citoyens de seconde zone au pays des ayatollahs. Au bout du couloir aseptisĂ© oĂč l’on est priĂ© de se dĂ©chausser, le menton appuyĂ© sur un pommeau de canne soigneusement couvert de plastique, Grande sœur », comme l’appellent les Ă©tudiantes de lÂ’Ă©cole de thĂ©ologie de Machhad, au nord-est du pays, nous inspecte, dubitative. Les Occidentaux ne lui inspirent pas confiance, les Français qui interdisent aux jeunes musulmanes de porter le hidjab », pas plus que les autres. Qu’on ose rĂ©pliquer que dans sa » RĂ©publique, le voile s’impose partout, Ă  toutes, l’offusque. La petite dame de 67 ans campe sur sa position. Bien avant l’heure, Fatima Etemadi a appelĂ© de ses vœux la RĂ©volution islamique, lui sacrifiant son mariage. Devant une secrĂ©taire maniant en gants blancs les copies d’examen, Fatima Ă©voque son unique voyage En 1984, une confĂ©rence sur la femme et l’islam Ă  la grande mosquĂ©e de Hambourg. » Souvenirs mystiques » Dans les rues, des femmes se prĂ©cipitaient pour embrasser mon tchador » et cette visite au supermarchĂ© au milieu de femmes nues », temple d’ une culture un peu spĂ©ciale », comme elle dit. Fatima affiche une insolente certitude pour elle, l’islam, contemporain de nos vieilles religions, et le chiisme, qui, contrairement au sunnisme, n’a jamais cessĂ© son effort d’interprĂ©tation du Coran, sont d’un modernisme qui s’impose. Priez pour que nous puissions gagner Paris pour vous guider
 », rĂ©sume Malieh Ahmadi, diplĂŽmĂ©e et initiĂ©e. Mme Tahaie, sous-directrice voĂ»tĂ©e sous ses 70 ans, opine d’un chef satisfait, enchaĂźne sur les bienfaits apportĂ©s aux femmes par la rĂ©volution Avant, nous Ă©tions vouĂ©es Ă  des emplois de pacotille, comme toutes ces reines de beautĂ© occidentales qu’on exhibe pour leur physique plutĂŽt que leur cerveau. » Sous les portraits d’un Khomeiny sanctifiĂ© et de son successeur, Khamenei, rĂ©vĂ©rĂ© pour ses valeurs », Mme Tahaie et Mlle Etemadi sÂ’Ă©vertuent Ă  cette dĂ©votion, selon elles islamique », de faire la morale. Pour notre saint ProphĂšte, une femme mariĂ©e a accompli 50 % de son devoir religieux car ensuite la corruption des mœurs est impossible. » Elles tirent comme des hommes mais ces Ă©lĂšves de l’acadĂ©mie de police seront chargĂ©es de traquer leurs soeurs qui sortent du droit chemin. Toutes affirment qu’elles sont lĂ  par idĂ©alisme, pour servir leur pays. Mais quelques-unes finissent par avouer que la difficultĂ© Ă  trouver du travail les a poussĂ©es Ă  s’engager dans les forces de l’ordre. Les plus audacieuses s’arrangent pour jouer avec les limites de la loi sans la transgresser. Comme l’actrice Heyde Tehrani, qui meuble son appartement Ă  l’occidentale mais ne tourne jamais sans voile. Quant aux filles du groupe pop Orkideh, elles manient avec enthousiasme la guitare Ă©lectrique, mais font sagement contrĂŽler paroles et musique avant chaque concert. Deux jeunes femmes habillĂ©es Ă  la derniĂšre mode flĂąnent au Golestan. Ce centre commercial, situĂ© dans le quartier chic de TĂ©hĂ©ran, est un des lieux de rencontre de la jeunesse. Les femmes qui sont sur la mauvaise voie doivent ĂȘtre guidĂ©es tandis qu’on rĂ©soudra leurs problĂšmes Ă©conomiques et culturels, souvent source de leurs Ă©garements», acquiesce Zohreh Sefati, 50 ans, seule femme ayatollah du pays, ayant le pouvoir dÂ’Ă©mettre des fatwas. Les murs de son bureau de Qom sont tapissĂ©s de prĂ©cis coraniques. Le jour oĂč son pays teste de nouveaux missiles capables d’atteindre IsraĂ«l, l’Europe du Sud ou les bases militaires amĂ©ricaines d’Irak et d’Afghanistan, Zohreh affirme que s’il fait souvent l’objet de critiques, c’est que les conventions internationales ignorent la loi islamique et que nos ennemis rĂ©pandent de l’Iran une vision dĂ©formĂ©e ». Elle adhĂšre au sermon qu’un de ses pairs, l’ayatollah Ebadi, distille la veille du dĂ©but du ramadan par Hygiaphone dans l’immense mosquĂ©e de Machhad. Les superpuissances rĂ©pandent dans le monde le trafic de drogue, provoquent des idĂ©es sexuelles afin que les jeunes n’aient plus de temps pour les questions sĂ©rieuses et dĂ©sapprennent Ă  penser, hurle l’ayatollah Ebadi. Prions pour la chute des gouvernements israĂ©lien et amĂ©ricain. Prions pour que la rĂ©volution de Khomeiny dure
 » La mĂȘme ferveur prĂ©vaut autour de la toile cirĂ©e sur laquelle les dames patronnesses du comitĂ© des de la province de Khorasan ont disposĂ© plein de biscuits autour du sempiternel portrait du dĂ©funt guide suprĂȘme. Notre mission consiste Ă  mettre en valeur les droits des femmes, Ă  les inciter Ă  la vie de famille », rĂ©sume Homa Asani, ex-institutrice. Journaliste, docteur en mathĂ©matiques, mariĂ©e Ă  14 ans et dĂ©jĂ  mĂšre de quatre enfants, Anah, sa voisine de table, se considĂšre comme un modĂšle de rĂ©ussite ». Elle voit dans ce tchador, qu’elle n’îte qu’en famille, un outil Ă©galitaire Laisser sortir dĂ©voilĂ©es des femmes trop belles, c’est cruel pour les moches. En Iran, les femmes sont heureuses. » Mme Dastghayb hausse les Ă©paules Elle ment, les femmes d’ici ont des problĂšmes comme partout dans le monde. » Comme partout dans le monde » est un prĂ©ambule nĂ©cessaire Ă  toute critique pour en exclure la spĂ©cificitĂ© du rĂ©gime, soit qu’on y croie, soit qu’on sÂ’Ă©vite par cette rengaine les foudres du ministĂšre de la Culture et de la Guidance auquel aucune dĂ©claration nÂ’Ă©chappe. Amoureuse, Raheleh, 23 ans, ne demandait qu’à ĂȘtre une bonne Ă©pouse ». Il y a quatre ans, elle s’unit Ă  un homme qu’elle trouve idĂ©al et qui, dĂšs le lendemain, la bat. Depuis six mois, rĂ©fugiĂ©e chez ses parents dans un quartier populaire du sud de TĂ©hĂ©ran, elle veut divorcer. J’ai obtenu un certificat d’un mĂ©decin lĂ©giste, dit Raheleh. Pour la justice, ce n’est pas assez. Il faudrait des tĂ©moins extĂ©rieurs Ă  la famille. Mon mari refuse la sĂ©paration. A moins que je ne rende une partie des 400 piĂšces d’or de ma dot et il ne me laissera jamais la garde de notre fils. » AprĂšs avoir obtenu, en 1994, la permission de porter des lunettes de soleil, et rĂ©cemment celle d’enfourcher une moto, les Iraniennes ont en principe des droits de divorce Ă©gaux Ă  ceux des hommes. En fait, les conditions pour qu’une femme l’initie sont draconiennes. Il lui faut prouver qu’elle est maltraitĂ©e ou que son Ă©poux est atteint d’un mal incurable, fou, stĂ©rile, emprisonnĂ© ou absent du domicile depuis cinq ans. Quand il s’est fiancĂ©, Ali Afshari, ex-leader de la contestation estudiantine, pouvant aligner sur son trois ans de prison, a offert Ă  Haneh Davoodi, 27 ans, tout ce dont rĂȘve une Iranienne. Il a fait inscrire dans leur contrat de mariage le droit de divorce. Le juge a refusĂ© qu’il lui laisse la garde des enfants, pourtant il y tenait. Mon mari dit qu’il est fou. Moi, je pense que c’est un type bien et ma fille, qui va lÂ’Ă©pouser, que c’est normal », raconte la journaliste Fariba Davoodi, sa mĂšre. Fariba se dĂ©bat pour que les femmes aient des droits Ă©lĂ©mentaires comme celui de travailler ou de voyager sans la permission du mari ». A Qom, Hidjab Taxi Service a Ă©tĂ© créé par des femmes pour en conduire d’autres hors de chez elles. Ca change leur vie, elles n’ont plus besoin d’attendre un homme de leur famille pour se rendre Ă  l’universitĂ© ou au bazar », explique sa fondatrice, Sheqina Irani. Celles qui rentrent aprĂšs des annĂ©es d’exil trouvent qu’on a fait des progrĂšs, constate Fariba. Disons qu’on a rĂ©ussi Ă  changer la mentalitĂ© des classes moyennes citadines, mais le systĂšme rĂ©siste et n’est pas prĂšs de cĂ©der. » Comme ces Ă©tudiants d’opposition qui, depuis la rĂ©pression de leur mouvement en 2002, n’ont plus bougĂ©, Fariba se dĂ©courage de voir la vague de libĂ©ralisation se heurter au pouvoir des ayatollahs conservateurs, rendu plus fort par sa victoire aux lĂ©gislatives de 2004. AprĂšs avoir oscillĂ© vers le rĂ©formisme, le pays qui se choisira un nouveau prĂ©sident le 17 juin glisse dans l’autre sens et Fariba tremble. Cela ravive en elle le souvenir de ce jour de 2000 oĂč on l’a embarquĂ©e, les yeux bandĂ©s, vers une prison de la SĂ©curitĂ© nationale. Pendant trente-quatre jours, je suis restĂ©e Ă  l’isolement total sans savoir ce qu’on me reprochait. Je nÂ’Ă©tais pas dans la “ligne”, et pour cela je suis condamnĂ©e Ă  deux ans avec sursis
 » Fatima nÂ’Ă©crit plus que sur les femmes, pour des femmes. Ses articles sont pleins d’incestes, de viols, de meurtres PrĂšs de 50 crimes d’honneur ont Ă©tĂ© recensĂ©s l’an dernier dans une seule province, oĂč rĂšgne la minoritĂ© ethnique arabe. Il suffit qu’une fille refuse de se marier ou n’arrive pas vierge Ă  ses noces pour justifier son assassinat par un pĂšre, un frĂšre. » Les Ă©coles thĂ©ologiques accueillent les Ă©tudiantes, pour leur enseigner qu’une femme mariĂ©e a dĂ©jĂ  accompli 50% de son devoir religieux. Ici, leçon de religion Ă  l’école pour femmes de Machhad. Pendant un cours de physique, Ă  l’universitĂ© de TĂ©hĂ©ran. garçons et filles sont mĂ©langĂ©s et assistent aux mĂȘmes classes mais, sur le campus, des gardiens veillent Ă  ce qu’ils ne s’approchent pas de trop sans-abri, les dĂ©pressives ou les toxicomanes, de plus en plus nombreuses, sont mises Ă  l’écart dans des centres spĂ©ciaux. A la mosquĂ©e, hommes et femmes ne prient pas ensemble. Ils ne pĂ©nĂštrent pas dans l’édifice religieux par la mĂȘme porte. Traditions ou droit islamique contraignent celles qui n’ont pas dĂ©libĂ©rĂ©ment optĂ© pour le tchador ou le roupouch », manteau large et informe, Ă  l’hypocrisie quotidienne. On a plus de schizophrĂšnes que de dĂ©pressives. Je ne peux pas dire que le mode de vie n’y est pour rien », avoue Nosrat Dahi, mĂ©decin de garde Ă  l’Institut pour la protection des victimes sociales. SituĂ©e Ă  la sortie sud de TĂ©hĂ©ran, cette cour fermĂ©e aux hommes est un refuge pour une soixantaine de femmes, sous neuroleptiques, dont personne ne veut. Notre association arpente les terminaux de bus, les parcs pour rĂ©cupĂ©rer des vieilles sans abri, des malades mentales rejetĂ©es par leur famille, des fugueuses, explique Fahimeh Eskandari, directrice. Chaque jour, en moyenne 60 jeunes femmes, parmi lesquelles 45 mineures, errent dans les rues de TĂ©hĂ©ran. » Nassim, 22 ans, y a atterri aprĂšs quatre mariages La premiĂšre fois, ma famille avait des problĂšmes Ă©conomiques, j’avais 15 ans, lui 32. Comme il Ă©tait toxicomane, on m’a “divorcĂ©e” puis remariĂ©e. Ca n’a pas collĂ©. Le troisiĂšme, je l’ai choisi, mais il m’a rĂ©pudiĂ©e. Le quatriĂšme me battait, me trompait, me droguait et ne voulait pas mÂ’Ă©pouser. » Nassim a vĂ©cu avec lui en vertu du sighe ». Cette vieille coutume chiite conçue pour les veuves et les pĂšlerins autorise une union temporaire de convenance. GuĂšre plus enviable, le destin de Zohreh Esfandiari Mon pĂšre a fait faillite Ă  cause de la drogue. A 16 ans, je l’ai fui. Le jour oĂč il m’a retrouvĂ©e, il m’a fait avaler un poison avant de m’emmener en voiture vers le dĂ©sert. Quand je l’ai implorĂ©, embrassant ses pieds, il a renoncĂ© Ă  mÂ’Ă©trangler. On m’a conduite Ă  l’hĂŽpital et en prison avant de me placer ici. » AprĂšs un examen de chastetĂ© nĂ©gatif », prĂ©cise la psychologue Mojgan Shiraz. J’ai 19 ans maintenant, conclut Zohreh. Je passe mon temps Ă  regarder des shows Ă  la tĂ©lĂ©. » Cۧa tÂ’Ă©carte de Dieu », lui reproche Ahdis Emani, 34 ans, agitant son obsession de la propretĂ© au bout de doigts emballĂ©s de plastique. En public, tout ou presque est interdit; en privĂ©, on s’accommode des rĂšglements derriĂšre des rideaux. La vraie vie se terre. Les filles qui oublient de se couvrir les pieds ont une crainte invĂ©rifiĂ©e Il paraĂźt que dans les centres de corruption morale, pour te faire passer l’envie de sortir sans chaussettes, on te fourre les deux pieds dans des sacs pleins de cafards. » SurvĂȘtement Ă  capuche en guise de hidjab, Anah, 15 ans, traĂźne le soir ses Nike au Food Court, un centre commercial trois fois fermĂ© pour cause d’insubordination des jeunes. Ce soir, elle attend son jules, Ali, 19 ans, les cheveux gominĂ©s, un jean baggy. Bien que tout contact physique entre deux personnes non mariĂ©es soit prohibĂ©, poignĂ©e de main comprise, elle va serrer la sienne, la retenir jusqu’à ce qu’un vigile les surprenne. L’idĂ©e ne les effraie pas On argumente, on leur offre un peu d’argent. Au pire, on finit au poste, oĂč nos parents viennent nous rĂ©cupĂ©rer. Quand tu te fais choper dans un endroit sombre, genre parc, tu es bonne pour un contrĂŽle de virginitĂ©. » L’ouverture sur l’autre monde d’Anah et ses amies se mesure en centimĂštres un Ă©cran d’ordinateur connectĂ© Ă  Internet. Avec Mina, 17 ans, sa cousine, elle passe des heures Ă  se crĂ©er un monde virtuel idĂ©al. Orchard », jeu de rĂŽle Ă  Ă©chelle planĂ©taire, fait un malheur en Iran. C’est par e-mails en finglish », moitiĂ© farsi, moitiĂ© anglais, que les filles s’invitent Ă  des soirĂ©es interdites. AprĂšs vingt-cinq ans de rĂ©volution, les autoritĂ©s iraniennes ont dissous les escadrons chargĂ©s de rĂ©pandre le bien et de rĂ©frĂ©ner le mal ». La police les remplace. Les Iraniens ont compris
 GĂ©nĂ©ralement, on opĂšre sur dĂ©nonciation », explique le lieutenant chef Mohtaram Masoud Manesh qui dirige, depuis 1999, l’AcadĂ©mie fĂ©minine de police. Ce jour-lĂ , une promotion experte en arts martiaux rĂ©pĂšte le spectacle de remise des diplĂŽmes. ThĂšme Interpellation d’une jeune femme soupçonnĂ©e de vendre de la drogue au lycĂ©e ». Le genre de tĂąche qui peut vous Ă©choir dans un pays oĂč, selon les sources, il y aurait 2 Ă  3 millions de toxicomanes. Il y a plus de femmes trafiquantes que de consommatrices », estime Ashraf Boroujerdy, vice-ministre de l’IntĂ©rieur en charge des Affaires sociales. En Iran, oĂč le pouvoir judiciaire a finalement renoncĂ© aux exĂ©cutions publiques et Ă  la lapidation, une femme en possession de plus de 30 grammes de stupĂ©fiants risque l’exĂ©cution par balle ou la pendaison, Ă  huis clos. Ashraf Boroujerdy, 47 ans et 4 enfants, est pratiquement au maximum de la hiĂ©rarchie politique iranienne dont la cime – la prĂ©sidence – reste interdite aux femmes. L’air guindĂ© sous un tchador dont nÂ’Ă©mergent qu’un nez et une monture de lunettes style intello, elle essaie de ne pas mĂącher ses mots. En Iran, reconnaĂźt-elle, les hommes regardent les femmes avec un certain mĂ©pris qui les empĂȘche de progresser dans la sociĂ©tĂ©. » Pas sur les trottoirs. Les khodforouch », celles qui se vendent », pullulent moins en surface depuis l’apparition du tĂ©lĂ©phone portable mais ne demeurent pas moins. La vice-ministre distingue trois sortes de prostituĂ©es Celles qui font ça pour des raisons Ă©conomiques, les professionnelles qui rĂ©cidivent mĂȘme aprĂšs qu’on leur a trouvĂ© un emploi dĂ©cents celles qui croient ĂȘtre aimĂ©es par des hommes qui refusent de les Ă©pouser. » Certaines atterrissent dans les centres de Bien-ĂȘtre » dont s’occupe le Dr Seyyed Hadi Mutamedi, directeur gĂ©nĂ©ral du dĂ©partement pathologies sociales » au ministĂšre de la SantĂ©. On les y garde de six mois Ă  un an, le temps de les rendre indĂ©pendantes, dit celui-ci. Si possible, on leur arrange un mariage
 Quand elles n’ont pas trouvĂ© de prĂ©tendants Ă  l’universitĂ©, ou si ceux-ci sont rĂ©cusĂ©s par notre comitĂ© d’enquĂȘte, on leur cherche un Ă©poux parmi les candidats que nous soumet le comitĂ© d’entraide de l’ayatollah Khomeiny. » C’est la nurse de ce dernier que se prĂ©pare Ă  incarner au cinĂ©ma la comĂ©dienne Hedye Tehrani, 32 ans et vingt films. Vous trouvez que le cinĂ©ma iranien est une rĂ©ussite ? On n’arrĂȘte pas de filmer la mĂȘme pauvre femme qui apporte le thĂ©, ne lĂšve jamais la voix devant son mari et pleure en cachette toute la journĂ©e. C’est immuable. » Immuable comme la censure. Pas question que les personnages fĂ©minins quittent leur voile, mĂȘme si le film traite d’autres pays, dÂ’Ă©poques antĂ©rieures Ă  la rĂ©volution, mĂȘme si la scĂšne se passe au lit ou au fond de leur cuisine. Une thĂšse sur les chants traditionnels du nouvel an a aidĂ© Orkideh Hajivandi et ses neuf musiciennes Ă  obtenir l’autorisation de former le premier groupe pop» fĂ©minin de l’histoire postrĂ©volution. Elles ont pu se produire vingt fois en concert devant un parterre exclusivement fĂ©minin aprĂšs approbation des textes et des mĂ©lodies par la Guidance. Interdites sur les ondes parce que le chanteur est une chanteuse, leurs bluettes parlent d’amour et de fleurettes. LĂ  oĂč la censure ne supporte pas la nuditĂ© mĂȘme en peinture, Mahla Zamani, banquiĂšre au temps du shah, s’est emparĂ©e du marchĂ© porteur de la mode islamiquement correcte ». Mahla confectionne aussi les uniformes des hĂŽtesses d’Iran Air, des employĂ©es de la Banque de l’emploi. Pour chaque catalogue, les autoritĂ©s vĂ©rifient avant publication que les mannequins ne sont ni trop dĂ©couvertes ni trop maquillĂ©es, dit-elle. C’est paradoxal, quand on sait que toutes les femmes sont dĂ©colletĂ©es passĂ© 20 heures ! » Le tchador n’est pas la plus lourde chape de plomb qui pĂšse sur nos Ă©paules », estime la sculptrice Bita Fayazi, 42 ans, dĂ©jĂ  exposĂ©e au Barbican de Londres. Parmi ses thĂšmes rĂ©currents les blattes. Rien Ă  voir, assure-t-elle, avec la fois oĂč la police l’a arrĂȘtĂ©e dans la rue sans chaussettes. Je rentrais de mon atelier, dĂ©braillĂ©e
 Ils ont saisi ce prĂ©texte pour m’embarquer. J’en ai Ă©tĂ© quitte pour un aprĂšs-midi de “guidance” chez une psychiatre officielle
 » InstallĂ©e au cœur de l’axe du mal de George Bush et sur une plaque tectonique rĂ©elle et aussi politique, Bita dit que les Iraniennes savent qu’elles n’ont rien de mieux Ă  faire que d’attendre, rĂ©signĂ©es, ce que le destin leur rĂ©serve. RĂ©cemment, elle a entrepris de repeindre ces corbeaux noirs grandeur nature qui font son succĂšs, puis elle a renoncĂ© Mon public ne se fait pas Ă  la couleur. » De ses corbeaux, Bita dit J’aime l’idĂ©e qu’il y en ait un pour chacun et plein la maison. Tu es toujours seule et toujours entourĂ©e. Je vois en eux une prĂ©sence mystique mais quand je les regarde, je me marre. Ils choisissent toujours la meilleure place pour se percher. » Un peu comme l’Iran des femmes en tchador
 Auteur Caroline MangezPhotos Alexandra Boulat

j ai trouvé une blatte chez moi